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31 janvier 2013 4 31 /01 /janvier /2013 21:11

Le 47ème SuperBowl se jouera dimanche prochain, 3 février. Cette finale de la Ligue de Football américain opposera les Ravens de Baltimore aux 49ers de San Francisco. 

A nouveau les medias s'attendent à des records d'audience (111 millions de téléspectateurs américains ont suivi la finale en 2012) et le prix de diffusion d'un spot publicitaire a bien été dépassé. La chaîne CBS qui diffusera cet évènement livre effectivement une fourchette entre 3,7 et 3,8 millions de dollars les 30 secondes (certains sont montés jusqu'à 4 millions - nytimes.com). 


Plus d'écrans et plus d'interactivité

Et pour autant, si l'intérêt des annonceurs pour ces quelques secondes reste indéniable, la stratégie n'est plus la même. Traditionnellement les marques misaient sur la créativité du spot pour "faire parler" d'elles APRES. Dorénavant elles ne portent plus seulement leur attention sur le spot diffusé à la télévision.


"60% des propriétaires de smartphones utilisent bel et bien leurs mobiles pendant qu'ils regardent la télévision" (petitweb.fr)

 Les téléspectateurs sont en effet en train de changer radicalement de coportement devant la télévision et n'hésitent pas à utiliser d'autres écrans en même temps ! Et ce pas uniquement pendant le match ou après comme cela a longtemps été le cas. Ils engagent aujourd'hui aussi la conversation AVANT.

 

 

Les chiffres du dernier Super Bowl concernant les recherches internet à propos des publicités (sportsmarketing.fr), confirment que les téléspectateurs consultent, depuis leur smartphone et leur ordinateur, des informations sur les publicités du Super Bowl pendant mais aussi avant le match.

L'utilisation du smartphone est dopé par la facilité avec laquelle il permet de commenter, partager, échanger depuis n'importe où, sur les médias sociaux. Et c'est bien sur cette utilisation que les annonceurs du Super Bowl mise un maximum : faire participer le nouveau téléspectateur également internaute et mobinaute.

Doritos propose d'aillurs depuis plusieurs années de faire participer. La marque demande aux créatifs de réaliser eux-mêmes des spots pour tenter d'être celui qui sera diffusé le grand soir, à l'issue des votes sur internet. Ici un des cinq spots finalistes de cette année : 

 

 



 

Cetta année on voit également dans cette veine participative, mais cette fois en temps réel, Coca-Cola. Le teaser de sa publicité a été dévoilé et met en scène une course-poursuite dont la fin sera influencée par le vote des téléspectateurs. Ces derniers pourront le faire en ligne via... leur smartphone ou leur ordinateur bien sûr.

 



 

Comme tous les ans beaucoup d'annonceurs viennent du secteur automobile. Mercedes est en première ligne puisque le match se déroulera dans le bien nommé Mercedes-Benz SuperDome de la Nouvelle Orléans. La marque fait donc certainement partie de ces annonceurs qui ont déboursé le prix fort de 4 millions de dollars pour 30 secondes et diffusera notamment un spot d'1 minute lors du dernier quart-temps. Kate Upton et Usher y appraîtront, de quoi nourrir les commentaires sur internet.

D'autres constructeurs automobiles ont également dévoilé leurs teasers. Vous pouvez voir ici ceux d'Audi, Hyundai, Kia, Subaru, Volswagen et Toyota : 


L'industrie du cinéma profitera également de l'évènement pour diffuser les premières images de ses grosses productions sur les écrans géants du Superdome. On verra ainsi quelques secondes "d'Iron Man 3, de Le Monde Fantastique D'Oz, de Lone Ranger, de Fast And Furious 6, de World War Z et de Star Trek Into Darkness" (commeaucinema.com), toujours largement de quoi alimenter les flux d'actualités sur les réseaux sociaux. 

Rendez-vous sur la chaine Dailymotion du blog pour voir d'autres teasers et certains spots lancés pendant la période de la finale et s'inspirant du ton traditionnellement décalé.

 

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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 19:45

Qu'entend-on par "web-to-store" ? 

Tout simplement ce que vous faites déjà souvent ! A savoir rechercher des informations en ligne avant d'acheter en magasin. Et les chiffres conforte cette tendance lourde : 85 % des internautes utilisent les sites e-commerce pour préparer un achat en magasin (journaldunet.com) et 30 % des Français affirment consulter des sites marchands depuis leur mobile avant un achat (laposte.fr).

A noter que l'on peut aussi parler de "ROPO" ou "ROBO" pour désigner cette recherche en ligne suivie de l'achat en magasin (Research Online, Purchase / Buy Offline).

 

Pourquoi va-t-on en parler beaucoup cette année ?

Parce que les enseignes s'intéressent sérieusement à ce comportement des clients. Au delà de la création d'un site vitrine ou de la possibilité de demander un devis en ligne, elles intègrent progressivement de nouvelles solutions dans leur stratégie de communication et de marketing en ligne. Elles tendent également à rendre l'expérience en magasin toujours plus digitale. Et les nouveaux supports les aident bien : mise à disposition de bornes et de tablettes tactiles (marketingperformer.fr) ou encore cartographie du magasin sur mobile pour guider les visiteurs (atelier.net).

 

Et le "click and collect" alors ?

C'est une fonctionnalités de plus en plus utilisée : le fait de connaître la disponibilité en temps réel des produits consultés sur le site de la marque, de les réserver (de les acheter en ligne ou pas) et d'aller ensuite les retirer dans en boutique. Evidemment c'est une solution lourde à mettre en place pour l'enseigne qui demande une organisation pensées dans les moindres détails.

La solution intermédiaire peut être le "product locator" qui permet simplement de connaître l'état des stocks depuis la  fiche produit (journaldunet.com).

 

 

A lire également :

> Boutique du futur : le geofencing va redéfinir le rapport vendeur/client sur pro.01net.com

"Plus besoin de QR Code, une photo de l’article permet au système de retrouver sa référence, et donc sa fiche produit. Dans le scénario proposé par eBay, la cliente prendra ainsi en photo l’article et le commandera sans même entrer dans le magasin."

 

> A quoi ressembleront donc les magasins de demain? sur slate.fr

Bref, les centres villes risquent fort de se transformer en collection de vitrines high-tech bardées de QR code et constamment «connectées». Y compris du côté des vendeurs, qui, comme dans les Apple Store, se promènent une tablette à la main.

 

> Et des cas pratiques instructifs sur le blog ropo.fr

 

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28 mai 2012 1 28 /05 /mai /2012 16:40

Comment se porte la communication évènementielle ? Quelles sont les tendances ? Voici quelques éléments à partir de l’étude ANAé-Bedouk 2012 publiée en février dernier (lire les études de l'ANAé sur leur site : http://anae.org/documents).


Le marché se porte bien…

On note d’emblée une augmentation de 8% en moyenne par agence du chiffre d’affaires (à périmètre constant). Pour autant les résultats des agences sont variables : 38% des agences déclarent un CA 2010 inférieur à 2009 et 20% des agences réalisent plus de 30% de progression.


… mais ne s’emballe pas.

Ceci expliquant peut-être une vision confiante des évolutions de leurs résultats 2012 (38% des professionnels interrogés prévoit une hausse de le CA de 38%) mais réservée (ils sont plus nombreux (44%) à prévoir un CA stable, et plus nombreux qu’en 2011 à imaginer une baisse (16%)).

 

 


Une forte demande pour l’interne

La typologie des événements a évolué confirmant la volonté des entreprises à organiser des évènements en interne. Ces derniers représentent 39% des évènements réalisés, dépassant ainsi désormais les évènements corporate avec des publics internes et externes (26%). 


 

 

On ne s’étonnera donc pas d’observer une augmentation des évènements organisés en France, et en majorité en Ile-de-France (hors de nos frontières c’est l’Espagne qui reste la première destination).

 

 

 

Si les évènements grand public et culturels sont moins nombreux on notera à l’inverse la stabilité des congrès/symposiums et la légère hausse des salons, amenant probablement pour partie l’augmentation notée des évènements de plus de 500 personnes.  

La tendance reste tout de même à l’organisation d’évènements de plus faible envergure, notamment avec moins de  50 personnes : 32%, revenant presque au taux de 2009 avec 37%.

 

Côté secteur d’activité, c’est toujours celui de la finance / banque / assurance qui est jugé à 42% comme le plus porteur par les professionnels (contre 39% pour l’industrie et 31% pour chimie / pharma / cosmétique, tous les deux en hausse)

Les futurs évènements seront probablement toujours plus « innovants » et « mobilisateurs » selon les anticipations des agences sur les besoins des annonceurs, avec le recours aux nouvelles technologies et aux réseaux sociaux en particulier. 

 

Les chiffres des années précédentes : 

 

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31 janvier 2012 2 31 /01 /janvier /2012 12:07

La 46ème finale de la Ligue Nationale de Football Américain aura lieu dimanche prochain et l'évènement est aussi attendu par les sportifs que les publicitaires qui diffsent à cette occasion des spots aux prix toujours plus élévés. 

En 2011 le Super Bowl a réuni 111 millions de télespecteurs et NBC profitera cette année de cette incroyable audience. La chaîne a d'ailleurs bien monnayé ses espaces avec un prix moyen de 3,5 millions de dollars les 30 secondes. Un nouveau record a également été atteint cette année avec un spot à 4 millions de dollars

 


Aperçu des spots

Sélection automobile

Audi


Chevrolet

 

Hyundai



Toyota


 
Wolkswagen
 


Le concours de Doritos

Voici une des publicités proposées pour le concours de la marque de nachos, Crash The Super Bowl, ainsi qu'un spot refusé. 


 




Coca-Cola fera quant à lui chatter ses ours polaires en direct pendant le match

"Les ours animés réagiront en vidéo à tout évènement du match. Par exemple, à chaque touchdown, l'ours correspondant à la bonne équipe lèvera la main et fera le signe du Touchdown." (meltybuzz.fr)


 

 

Précéder et prolonger la campagne sur les réseaux sociaux

Comme le note sportsmarketing.fr, les réseaux sociaux permettent aujourd'hui de mieux justifier des investissements publicitaires colossaux car ils ont une deuxième vie sur internet :

  • 48% des américains vont aller voir les publicités des marques sur Facebook
  • 27% des américains utiliseront Facebook durant la finale
  • 35 millions d’américains vont partager les publicités vues durant le SuperBowl sur Facebook

l'infographie en intégralité

 

Flashback 

Publicités Super Bowl 2011 : à nouveau 3 millions de dollars les 30 secondes

Super Bowl 2010 : les pubs que vous ne verrez pas

Pepsi préfère le social media au Super Bowl

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15 janvier 2012 7 15 /01 /janvier /2012 22:01

Si vous avez déjà travaillé à la création d'un site internet, vous êtes normalement déjà passé par l'étape de l'optimisation pour les moteurs de recherches, à savoir le référencement naturel ou SEO. Voici quelques indications qui vous permettront de savoir où vous en êtes dans cette optimisation et ce que vous pouvez encore améliorer cette année. 


referencement naturel google


Eléments in-page

L'idéal est de commencer par optimiser les éléments dits "in-page", notamment, la structure, les titres et balises. 


La strucure du site est pensée au début du travail de créaton, avant toute intervention du graphisme. Il s'agit de créer une arborescence claire pour que l'internaute et le robot puissent comprendre et suivre le contenu que vous allez intégrer. Vous avez ainsi grand intérêt à faire figurer un plan de site au moins dans l'une de vos pages. Le fil d'Ariane permet également à l'internaute de bien visualiser sa navigation et de la remonter à tout moment. 


De la même manière il est préconisé de bien lier vos pages grâce à de liens internes. Ces liens sont faits de préférence sur des mots-clés et non sur des indications type "cliquez-ici" car le lien donne de l'importance au mot ou à l'expression et le but n'est pas d'être référencé pour l'expression "cliquez-ici"...


Concernant les titres et les mots-clés, le choix doit être fait suivant les requêtes des internautes mais aussi des objectifs que vous avez définis pour votre site. N'hésitez pas à taper les mots-clés qui vous intéressent dans les moteurs pour voir qui sont vos concurrents sur ces requêtes ! Les outils de Google pour générer des mots-clés et obtenir des statistiques sur les requêtes représentent un bon support pour évaluer la pertinence des mots choisis et la diffuculée ou non d'être visible (vous les retrouvez dans les outils de Google Adwords).


L'idée n'est pas de remplir tous vos titres et toutes vos pages avec les mots-clés sans réfléchir, mais plutôt de les intégrer fréquemment et selon votre structure. Ainsi, lorsque vous avez découpé votre contenu, vous avez fait des catégories (les menus, les pages...). Vous pouvez ainsi choisir quels mots-clés iront dans quelles catégories et ainsi évter de disperser vos mots-clés sur l'ensemble du site. 


Vos mots-clés principaux vous rapportent le plus de visites mais n'oubliez pas de les décliner pour profiter de l'effet de "longue traîne". Les requêtes sont de plus en plus longues (plus de 3 mots clés) et vous pouvez décliner vos mots-clés pour maximiser votre positionnement dans ces requêtes. 

longue traine

webmarketeur.info


Lorsque vous rédigez la meta description de vote page d'accueil n'oubliez pas non plus qu'il s'agit d'une description de page et non de site, il est donc nécessaire d'en rédiger une nouvelle à chaque fois pour toutes les pages.


Je n'ai pas évoqué le nom de domaine mais il s'agit de l'intégrer dans votre recherche de mots-clés pour trouver celui qui s'adaptera le mieux à votre projet et permettra d'être facilement identifiable.


D'autres part, les url doivent toujours être optimsées pour éviter ce type d'enchainement : "www.monsite.com/?q=fr_&type=15", trop complexe pour les robots, freinant ainsi votre montée dans les résultats de recherche. 


Enfin, pensez à optimiser vos images en remplissant les attributs "alt" et "title" ainsi que la légende, à renforcer vos textes avec des mises en gras (<strong>) et des hiérarchies de titres (<h1>, <h2>...) et à éviter de réaliser votre site intégralement en flash ou en image. 

 

 

Eléments off-page

Après cette optimisation dans la construction de vos pages, il est nécessaire de s'intéresser aux éléments dits "off-page". Il s'agit principalement du travail sur le contenu et les liens entrants.


Comment rendre son site intéressant ? C'est bien la réalisation d'un contenu pertinent, spécifique ou thématique, fréquemment actualisé qui donnera envie aux internautes de revenir et de le partager, de faire des liens sur vos pages. On parle alors souvent de "link baiting" : pour un site informatif cela peut se traduire par des enquêtes ou des articles de fond à forte valeur ajoutée. 


De manière générale, pour obtenir un maximum de liens entrants (=liens externes pointants vers votre site) on pratique le "netlinking" : chercher des sites avec lesquels il est possible d'échanger des liens, créer un blog, partager largement sur les réseaux sociaux.  


Les moteurs de recherche prennent en effet de plus en plus en compte les indicateurs sociaux, ne passez pas côté de cette opportunité et créez des profils sur les réseaux sociaux pour partager vos liens. Cette tendance a fait émergé l'experession de référencment social (ou SMO : social media optimization)


Comme pour la stratégie d'e-mailing marketing, pensez à la version mobile. Votre site doit être rapidement accessible sur les smartphones et le contenu complètement lisible. Même si vos pages arrivent en tête des requêtes, le visiteur s'en détournera s'il n'arrive pas à les consulter facilement ! 

 

Une fois votre site optimisé restez attentif aux évolutions de vos positions dans les résultats de recherche. Le référencement s'apprécie avec des tests et n'est pas immuable (consultez régulièrement les articles sur le sujet). Utilisez enfin Google Analytics pour faire régulièrment des points sur vos visites et, si vous êtes dans une démarche marchande, étudiez votre taux de conversion pour ajuster votre optimisation. 

 

 

A lire sur le sujet : 

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 14:02

Vous venez ou allez certainement envoyer des e-mails pour cette nouvelle année, l'occasion de commencer cette série d'articles sur le webmarketing par l'e-mailing.


 

 

39

Il s’agit du nombre moyen d’emails reçus par un internaute français (ContactLab sur arobase.org). En entreprise ce nombre attend 72 par collaborateur.

 

Faire cliquer

Ces chiffres donnent rapidement une idée de la difficulté de faire émerger sa campagne d’e-mailing.

 

 

Pour ressortir du lot et obtenir un taux de clic intéressant (« le taux de clic moyen d’une newsletter [...] est généralement compris entre 2 et 4 % », webmarketing.com) travaillez sur des accroches pertinentes, des liens bien positionnés et pensez que vos lecteurs ne sont pas forcément derrière l’écran d’un ordinateur…

 

Développer l’e-mailing sur mobile

5,4 millions de français vont régulièrement sur internet depuis leur mobile (58% tous les jours) et la moitié le fait pour consulter ses e-mails. 10% des clients d’une entreprise visualiseraient ainsi leurs e-mails sur mobile.

Plus de détails dans ce livre blanc : « Tout ce qu'il faut savoir pour développer l'e-mail marketing sur mobile » à télécharger ici : http://www.dolist.net/pageseditos,385,top_3305003C,livre-blanc,emailing,mobile.html

 

emailmarketing.fr

 

Si cela n’est pas encore fait, je ne peux donc que vous conseiller de bien veiller à optimiser votre e-mailing à la consultation sur smartphone ou à en créer une deuxième version accessible par exemple depuis l’e-mail (avec un lien miroir).

Au-delà du changement dans le code HTML il s’agit de formuler des messages plus simples et concis. Parce que le téléphone mobile est un support personnel et nomade, vous pouvez aussi imaginer n’envoyer que certains types d’e-mails sur les téléphones : bon de réductions, informations sur le compte client… Pensez toujours à adapter le contenu à la taille de l’écran (selon les modèles/marques, selon la tenue verticale/horizontale) et continuez à faire des tests et des analyses sur les habitudes de vos lecteurs pour conserver l’efficacité de votre campagne.

 

blog.mediatrust.com

 

 

 

Travailler sur la clible

Comme je l'avais déjà abordé l'an dernier (E-mail marketing : chiffres et tendances), vous devez passer du temps à la personnalisation de votre message et au ciblage. Il s'agit de segmenter votre marché selon les indicateurs qui seront les plus pertinents selon vos objectifs : âge, profession, client, prospect...  

Voici une indication des principaux types de ciblage utilisés par les entreprises américaines (emailmarketing.fr) :

  • Ciblage selon les intérêts: 59,4%
  • Ciblage des individus ayant ouvert ou cliqué dans un envoi précédent: 34,9%
  • Ciblage selon le profil socio-démographique: 32,5%
  • Ciblage selon l'historique d'achat: 29,7%

Vous découvrirez peut-être certains groupes "niches" que vous pourrez exploiter plus efficacement. 

 


Faire des liens vers vos réseaux

66% des intenautes utiliseraient uniquement les e-mails pour partager du contenu, mais ils sont toujours plus nombreux à le faire avec les réseaux sociaux (journaldunet.com). Il est donc pertinent d'insérer des liens vers vos réseaux pour favoriser le partage de votre contenu encore plus facilement et rapidement. Cela pourra également vous permettre de toucher des contacts qui ne sont pas dans votre liste de diffusion.

 

 

 

 

D'ailleurs, une autre étude (Silverpop - 2011, sur dolist.net) met en évidence que plus des 3/4 des grands e-commerçants insèrent des liens de partage vers les réseaux sociaux au sein de leurs e-mails promotionnels. Il s'agit donc d'une forte tendance qui contribue efficacement à étendre votre présence sur Internet.

 

 

En savoir plus :

20 idées pour collecter des adresses e-mail

http://www.emailmarketing.fr/?p=4315


Monde : les performances de l'e-mailing

http://www.journaldunet.com/cc/03_internetmonde/e-mail.shtml


Infographie : savoir quand envoyer vos emailings : les meilleures et pires heures

http://bertiaux.fr/2011/08/infographie-savoir-quand-envoyer-vos-emailing-les-meilleures-et-pires-heures/

 

Participer à l'enquête : "Pratiques et Tendances 2012 de l'e-mailing marketing en France"

http://storage.dolist.fr/220/www/enquete/tendances-2012/enquete-email-marketing.html

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1 janvier 2012 7 01 /01 /janvier /2012 15:01

Référencement naturel, affiliation, médias sociaux, publicité, marketing viral, e-mailing, blogs, smartphones... Les leviers du webmarketing sont nombreux et en constante évolution. Alors comment les utiliser cette année ? Quelle méthodologie adopter ?

Vous vous demandez peut-être comment développer votre relation avec vos clients sur les réseaux sociaux ou comment en évaluer l'efficacité. Vous cherchez certainement à améliorer votre positionnement sur les moteurs de recherche et à fidéliser votre clientèle. Vous allez aimer cette série thématique de début d'année avec différents articles et points de vue sur le sujet.
E-réputation
Internet et les médias sociaux ont permis de faire naître une nouvelle relation entre l’entreprise et ses clients reposant sur les interactions et le partage.

D’ailleurs :

71% des entreprises estiment qu’une bonne réputation web est un objectif prioritaire.

78%  de ces entreprises jugent que l’e-réputation a un fort impact  sur l’attractivité des produits et des services

34% estiment qu’elle est essentielle pour améliorer le chiffre d’affaire.

(Etude de juin 2011- observatoire SAS / IDC des médias sociaux : http://www.blog-med-in-web.com/2011/11/e-reputation-en-chiffres/)

Comme le précise Loïc Moisant dans son article "Pourquoi surveiller sa E-réputation ?" (« Ils ont pensé le futur : web social, marketing, e-commerce... », coordonné par Pauline Duffour Wargnier & Henri Kaufman), la gestion de cette nouvelle relation client passe par l’adoption de pratiques ciblées, notamment bâtir une communauté d’ambassadeurs de la marque et assurer un service client multi-canal.
Comme lorsque vous essayez de contrôler votre réputation personnelle sur Internet, l’entreprise est constamment tiraillée entre la volonté d’être visible partout et tout le temps, et celle de protéger son image en maîtrisant les contenus publiés et partagés. 

 

e-reputation


Infographie vue ici : blogdumoderateur.com

 

 

Le webmarketing sert justement (mais pas seulement) à maîtriser l’image et  l’influence d’une marque ou d’une personne sur Internet. Les différents leviers que vous allez découvrir dans les prochains articles vous sont donc peut-être familiers car vous les utilisez déjà pour votre propre visibilité. 

 

 

Cité dans cet article : 

Ils ont pensé le futur: web social, marketing, e-commerce...

 

 

- Sujet 1 : l'e-mailing marketing

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19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 17:44

 

Blogs, réseaux sociaux, évènements, publications... Aujourd'hui je vous propose d'en apprendre davantage sur les missions réalisées par les professionnels de la communication interne et sur l'évolution de leurs outils grâce à un entretien avec Laurence Coeffier, chargée de communication.

 

 

 

Marlène Pujol : Bonjour Laurence, tout d'abord merci d’intervenir sur ce blog pour répondre à mes questions. Tu as travaillé pour AXA, Bouygues Telecom et TF1 comme chargée de communication interne et chargée de projets mécénat. Peux-tu nous présenter les principales missions qui t’ont été confiées ?


Laurence Coeffier : J’ai toujours voulu travailler dans la communication interne. J’eus ma première expérience dans ce domaine en 2009 afin de valider mon Master en communication des entreprises : je suis entrée chez AXA en tant que rédactrice interne stagiaire. Postée au sein d’une entité d’AXA comprenant 350 salariés, j’étais en charge d’une newsletter mensuelle d’une dizaine de pages réalisée sous Dreamweaver, logiciel que j’ai appris sur le tas. Chaque mois, un comité de rédaction composé d’un membre de chaque direction se réunissait afin de choisir les sujets à traiter. C’était ensuite à moi de réaliser l’interview du mois, rédiger les différents articles, faire des recherches iconographiques, monter la maquette sous Dreamweaver, etc. Cela a duré 6 mois.


En septembre 2009, je me retrouvais diplômée et sur le marché du travail. Après quelques mois de recherche, je décidai d’ajouter une corde à mon arc et entrai à la Fondation Bouygues Telecom en tant que chargée de projets mécénat stagiaire. La Fondation propose aux salariés de s’investir dans différents domaines à raison de 14 heures par an sur leur temps de travail : la promotion de la langue française, le médico-social et la protection de l’environnement. J’ai principalement eu l’occasion de travailler sur ce dernier. Par exemple, la Fondation propose chaque année aux collaborateurs de participer à des nettoyages de lacs, plages et rivières, appelés « Initiatives Océanes», en partenariat avec Surfrider Foundation Europe. Je devais établir un rétro planning, gérer la communication sur l’Intranet (bannières…), réaliser des affiches via Photoshop, gérer les prestataires, etc. J’ai également eu à gérer le côté logistique d’un événement regroupant 150 volontaires, les demandes de partenariats, les envois de goodies à des associations, etc. Enfin, j’étais régulièrement le contact des volontaires (noms donnés aux collaborateurs qui étaient inscrits à la Fondation).

 

Sept mois plus tard, en août 2010, j’étais à nouveau sur le marché de l’emploi. Suite à de nombreux mois de recherche, j’ai trouvé un CDD de 4 mois à TF1 en tant que chargée de communication interne, alliant rédactionnel et événementiel. Les différents sujets étaient traités de manière transversale : chaque personne avait ses domaines de référence et les communiquait via les supports internes adaptés : le magazine trimestriel, l’Intranet et la newsletter mensuelle. De la même façon, j’ai eu à écrire pour les trois supports. J’étais en plus chargée de la mise en page sous InDesign de la newsletter, des B.A.T, de sa diffusion, etc. Par ailleurs, j’ai eu à gérer la mise à jour du film institutionnel de TF1 : recherche des nouvelles images, rédaction du brief pour le monteur, validations, etc. Côté événementiel, j’ai participé à l’organisation des rendez-vous d’intégration qui ont lieu 2 à 3 fois par an (une centaine de nouveaux collaborateurs sont invités à chaque fois). Enfin, pour la convention TF1, qui a eu lieu en juin 2011 et pour laquelle les 4 000 collaborateurs du Groupe ont été conviés, j’ai assisté à toutes les réunions entre l’équipe et l’agence, recherché des vidéos pour les jingles, travaillé sur le listing des invités, participé au choix du traiteur, etc.


Toutes ces expériences ont été complémentaires et m’ont permis d’appréhender plusieurs outils utilisés en communication interne.

 

 

M. P. : Le web 2.0 a notamment fait son apparition dans la communication interne via les blogs. Comment expliques-tu cet engouement ? Les blogs vont-ils remplacer les journaux d’entreprise, les intranets ? 


L. C. : Le web 2.0 est entré dans nos vies personnelles depuis un bout de temps et rencontre un large succès. Il est selon moi logique que l’entreprise montre aux collaborateurs qu’elle sait aussi vivre avec son temps. Le blog n’est qu’un outil parmi tant d’autres, je ne pense pas qu’il va remplacer les journaux d’entreprise ou les Intranets car tout est une question de cible. En effet, dans une même entreprise, tous les collaborateurs ne vont pas s’informer de la même manière. Certains vont privilégier les supports numériques, alors que d’autres vont aimer pouvoir emmener leur journal interne dans les transports. Je pense que la multiplicité de ces supports aide simplement à pouvoir toucher un plus large spectre et qu’ils restent complémentaires.

 

Les blogs ont l’avantage d’être interactifs et de faire vivre un événement, une opération au jour le jour. Les journaux d’entreprise, les Intranets ne connaissent que peu de retours de la part des collaborateurs. Les blogs, quant à eux, donnent la parole aux salariés, même si le contenu est surveillé. Lors de mon stage à Bouygues Telecom, j’ai eu l’occasion d’animer un blog interne. Créé dans le cadre de l’animation et du suivi de volontaires devenus reporters pour quelques mois, le blog leur a permis de suivre l’actualité des autres groupes, de commenter, de trouver des coups de pouces, des astuces, des photos… Les volontaires pouvaient écrire eux-mêmes leurs billets mais par manque de temps, c’était principalement l’équipe de la Fondation qui s’occupait de faire vivre ce blog. Chacun d’entre eux était heureux de voir son aventure retranscrite, sa frimousse en ligne, etc.

 

Les blogs présentent aussi l’avantage de pouvoir tisser des liens plus facilement entre lecteurs et administrateurs grâce au style de langage utilisé. En effet, le style d’écriture des billets est beaucoup moins « officiel » que pour les autres supports écrits et permet d’établir un lien de proximité entre administrateurs et lecteurs. Ces derniers peuvent également se rencontrer via cet outil.

Selon la nature de l’opération à communiquer (je privilégierai les événements ponctuels), l’utilisation d’un blog peut être un moyen de surprendre les collaborateurs, de rompre avec le quotidien, à condition de pouvoir l’alimenter régulièrement

 

 

M. P. : De plus en plus d’entreprises mettent en place des RSE (Réseaux Sociaux d’Entreprise) à l’image des réseaux sociaux publics comme Facebook, Twitter et Viadeo (mais dont les échanges et les données sont gardées en interne), afin d’apporter de nouvelles formes de partage des connaissances, de renforcement des liens entre les collaborateurs, de valorisation des compétences, de conduite de changement. Que penses-tu de ce développement ?


 L. C. : Je pense qu’il était inévitable et que ces outils ont de nombreuses vertus. Ces réseaux apportent une nouvelle dimension professionnelle et sociale : possibilité de dialogue entre collaborateurs qui ne se seraient jamais rencontrés dans leur quotidien, échanges sur une actualité de l’entreprise, de conseils, etc. C’est aussi un moyen pour l’entreprise de diffuser des messages à ses salariés, de faire circuler une information d’une manière moins formelle, etc. Les réseaux sociaux peuvent apporter une nouvelle dynamique à l’entreprise. Cela peut également être un atout dans le cadre d’un changement important : par exemple, lors d’une fusion, les collaborateurs peuvent faire connaissance via cet outil, etc.

 

Cependant, ces outils sont encore peu répandus dans les entreprises et sont à utiliser avec précaution. Même s’ils sont devenus aujourd’hui une tendance en communication, tout le monde n’est pas réceptif à ce type d’outils : le secteur de l’entreprises, l’âge des collaborateurs, leur utilisation personnelle du web 2.0, la réticence à l’idée de ne pas pouvoir d’exprimer librement, etc. sont des paramètres à prendre en considération avant d’installer ce typer d’outil de communication à l’interne. En guise d’exemple, le réseau social interne de Bouygues Telecom a été plutôt bien accueilli et je pense que le secteur y est pour beaucoup, ainsi que la moyenne d’âge.

 

 

M. P. : L’événementiel est également un ressort de la communication interne pour renforcer les liens. Quelle est la place accordée aux opérations internes par rapport à la publication des contenus éditoriaux ? Sont-ils utilisés de manière complémentaire ?


L. C. : Evidemment, ils sont à mon sens complémentaires. Je dirais que les publications ont principalement vocation à informer les collaborateurs sur leur entreprise. C’est également un moyen d’échanger entre eux sur les dernières actualités, les projets futurs, etc. Cela permet de savoir ce qui a déjà été accompli et ce qui le sera dans un avenir proche, de se projeter. Les publications internes peuvent également avoir une notion de proximité puisque que la plupart sont transportables, etc.

Selon moi, il existe 2 sortes d’événementiels à l’interne : le passif et l’actif. Dans le cadre des Initiatives Océanes chez Bouygues Telecom, les collaborateurs participaient activement à l’événement. Ils étaient au cœur de l’action et cela a eu un effet direct sur eux, les liens se sont renforcés, etc. Lors de la convention de TF1, les collaborateurs étaient spectateurs. L’événement était davantage informatif qu’interactif : chaque type a donc sa propre utilité.


Quoi qu’il en soit, il est nécessaire d’informer les collaborateurs, de les motiver, de renforcer les liens, de les accompagner quelque soit le type de changement, de les surprendre, etc. Et pour cela, la multiplicité des canaux reste le meilleur atout des entreprises : événementiel, publications internes, blogs, réseaux sociaux, etc., tout est complémentaire.


Bien évidemment, je n’en suis qu’au début de ma carrière professionnelle et qui sait si je serais amenée à continuer dans la communication interne. Cependant, à ce stade, je peux affirmer que ce domaine est loin de manquer d’imagination et de ressources : par exemple, plusieurs entreprises déclinent déjà leurs journaux écrits internes en journaux vidéo.  Il a encore de beaux jours devant lui.

 

 

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31 août 2011 3 31 /08 /août /2011 16:27

Lorsque des travaux sont engagés (démolition, rénovation, réaménagement…) une communication particulière doit se mettre en place. Il s’agit bien évidemment de communiquer pour informer mais aussi de communiquer pour rassembler toutes les partie prenantes (résidants, élus, associations, commerçants, presse…).

Jean-Louis Laure, consultant chez Sennse (agence spécialisée dans la communication des projets urbains) « résume en trois mots la règle d’or de la communication publique sur ce type de problématique : concertation, anticipation, négociation » (Comment préparer le terrain, CBNews éd. Juillet/Août 2011).   


 

 

Informer

Quelques conseils sont donnés dans un article du blog de l’agence (La communication de chantier) pour permettre la mise en place d’un dispositif d’information efficace. L’idée est de veiller tout d’abord à la « bonne tenue » du chantier (« définir les heures durant lesquelles certains travaux affecteront le moins les déplacements, définir et respecter les heures auxquelles le bruit de certains engins de chantier sera le moins mal supporté, veiller à la propreté des alentours, voire, dans la mesure du possible, du chantier… »).

Différents supports peuvent ensuite être adoptés pour diffuser les informations relatives au calendrier, aux nuisances ou encore aux perturbations dans la circulation : lettre d'information, magazine/site internet de la ville, signalétique… Le choix d’une identité visuelle et d’une signature spécifiques est de rigueur pour rendre « lisible » le projet, quel qu’il soit.

 

Rassembler

Emporter l’adhésion de tous nécessite un véritable plan de communication. L’étape de concertation est primordiale et des enquêtes publiques peuvent être menées pour s’assurer de la bonne compréhension des enjeux. Des réunions publiques sont également utiles pour permettre à toutes les parties de s’exprimer et créer une dynamique positive autour des changements à venir.

 

Les travaux olympiques

Un bon exemple de l’importance de la communication de travaux est celui de jeux olympiques. La ville organisatrice doit procéder à des rénovations urbaines et de mutliples constructions afin d’accueillir des compétitions sportives mais aussi un nombre très important de visiteurs sur un temps donné.

 

Si être une ville candidate signifie implicitement travaux importants, les résidants ne sont pas toujours prêts à accueillir favorablement les changements urbains qui vont être réalisés (et pas uniquement pour les riverains concernés par des relocalisations) alors même que la ville a besoin qu'ils soient les premiers supporters de l'organisation des Jeux. 


 

La communication de travaux de Londres pour les Jeux Olympiques de 2012 s’est ainsi appuyée sur la dimension écologique du projet (gérer les effets de la construction sur l’environnement et les populations : structure du stade en polymère recyclable, nouveaux espaces verts, flamme moins gourmande en dioxyde de carbone (L’écologie en piste aux J.O de Londres, neo-planete.com)) et la transformation « des quartiers déshérités en royaume du sport, de la nature, du shopping et de la douceur de vivre » (Londres 2012 ou le principe de réalité, strategies.fr) pour promouvoir les travaux. Le fait que la ville ait fait le choix d’annoncer que la construction de structures permanentes ne se ferait que dans la mesure où elles seraient utilisées après les Jeux montre bien les visées à long termes des aménagements réalisés et la nécessité de rassurer quant aux investissements.


 

Après le Jeux, le Stade Olympique accueillera donc le club de West Ham United et le village olympique sera transformé en un « complexe immobilier de 1 439 maisons avec un potentiel de 2 000 maisons supplémentaire avec l’achat de 6 ilôts supplémentaires » (Le Village Olympique de Londres 2012 déjà vendu, sportsmarketing.fr).

 

Dès lors, comme l’explique Jean-Pierre Augustin dans Installations olympiques, régénération urbaine et tourisme (Téoros), on comprend bien que « les effets attendus ne sont d’ailleurs pas seulement urbanistiques, ils sont politiques, culturels et s’inscrivent de plus en plus dans des visées touristiques qui s’accompagnent du renforcement de la fréquentation des lieux et d’un attrait nouveau pour les installations urbaines ».

Il note à cette occasion que chaque ville peut avoir une perspective différente. Montréal n’avait ainsi pensé son projet urbain qu’après la construction du Parc Olympique pour utiliser la dynamique du site, alors que Barcelone avait lancé de véritables travaux de modernisation complète de la ville au moment du lancement des Jeux. 

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20 juillet 2011 3 20 /07 /juillet /2011 23:01
Après la vidéo " Clever dick" largement partagée, la nouvelle campagne d'AIDES (par JWT Paris) commence très fort avec le clip osé et décalé "Sexy Fingers" :

 


 

Juste un doigt pour se faire dépister



 Le site internet (sexyfingers.org) joue également avec le doigt pour vous faire naviguer, vous informer et vous faire expérimenter (entre autres) la musique sur préservatif...


 

L'idée étant que vous reteniez bien qu'un dépistage peut se faire simplement et rapidement avec une une petite goutte de sang prise sur le doigt (lire l'article sur la communication pour le changement de comportement). 

Evidemment vous êtes encouragé à partager et à commenter cette campagne grâce aux réseaux sociaux présents en bas de page du site. 

 

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